Nombre d’études ont établi des liens entre des maladies et le nombre de puits de gaz à proximité et leur degré de proximité. Des chercheurs ont documenté des problèmes jusqu’à 10 kilomètres des puits. Comme ces gaz peuvent être inhalés, avalés et aussi atteindre la peau, le potentiel d’exposition à des substances chimiques volatiles est plus important. C’est pourquoi la pollution atmosphérique constitue aujourd’hui l’une des principales préoccupations sanitaires publiques. Les substances chimiques issues du gaz de schiste ont aussi créé des quantités record d’ozone au sol qui, selon les consignations, se déplace sur plus de 300 km à partir de leur source, ce qui aggrave l’asthme, les maladies respiratoires et les dommages pulmonaires irréversibles.